Petit amour

Publié le par AnaisCaro

Le temps passe et tu restes dans ma tête, telle une obsession. Chaque souvenir, chaque geste, chaque parole ... Tu hantes mes jours les plus précieux et je t'ai promis de t'attendre. Je me suis comportée en idiote. La beauté ne fait pas tout, la beauté n'est pas un tout. Tu étais mon tout .... Mon complément, mon supplément, ma raison d'être. Sans toi, les journées ne sont plus les mêmes ... Plus de ta tendresse, plus de tes baisers, plus de tes messages passionnés ... On a vécu, on a survécu, on a aimé, on a trop aimé. Je t'ai fait du mal, beaucoup trop de mal, et si tu savais comme je m'en veux. Chaque jour, le remord me ronge, parce qu'au fond, nous ne sommes que des êtres humains. On n'est jamais ce que l'on est. Parce que j'ai beau avoir des qualités, c'était à toi qu'elles appartenaient ... Tu m'as aimée, tu m'as adorée, tu m'as chérie, tu m'as consolée, dans les instants rudes, dans la passion. Et je pleurs ta perte, telle une âme abandonnée. Toute cette joie, toute cette gaieté, tu me l'as donnée. Je ne voyais que toi, je ne voulais que toi, je ne jugeais que par toi. Sans toi, je suis encore perdue. Tu es dans mes veines, tu es dans mon sang, quand j'entends parler de toi, je ressens ce frisson, ce frisson d'amour, ce frisson d'impuissance, ce frisson qui fait que tu me manques chaque jour. Parce que oui, tu me manques. Quoi que tu penses, je ne cesse d'être avec toi, de te réclamer, si tu savais comme je suis peinée ... L'erreur est humaine, mais toi, tu savais me contenir. Tu savais apaiser mes peines, tu venais, le soir, à mon chevet, quand les jours de pluie, je pleurais le malheur ... J'ai fait cette bêtise, cette bêtise qui court à ma perte ... Le jour se lève et tu me manques, la couleur de tes yeux, l'odeur de ta peau, la sensation de ta chaire. Nos baisers ensoleillés, les matins sous la couette ... Je t'en prie, ne me laisse pas, ne me laisse plus vivre sans toi ... C'est avec toi que je veux être et je reconnais chacun de mes faux pas. Quand j'entends ta voix, je meurs d'envie de crier comme je t'aime, comme je m'en veux d'avoir perdu ton amour ... C'est après coup que l'on se rend compte de l'importance des choses, en l'occurrence de toi, si tu savais comme je tiens à toi. Mon Bb, mon amour, comprends-moi, comparé à toi, je ne suis rien qu'une fille, belle d'apparence mais sans rien. C'est toi qui m'apporte goût au bonheur, plus personne d'autre que toi, tu étais toutes les couleurs de l'arc-en-ciel ...

 

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Publié dans Darling

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